Durant quinze jours, quatre artistes ont pris leurs quartiers dans l'Orangerie pour y partager une vision charnelle de l'amour et proposer une réflexion sur le corps, la nudité, la peau. Aux cimaises, Louise Bossut et ses images d'Odalisques inspirées de la peinture de la Renaissance. Delphine Génicot propose une réflexion sur la peau. Alain Janssens expose uns série de photographies argentiques sur le corps et Monique Voz une installation intitulée "Gonfler le coeur" dans la rotonde.